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Xavier Eloy coach professionnel

Une analyse fine et subtile au service de votre légitimité et de votre performance

Passion Business Coach

Ma mission :
« J’aide les entrepreneuses qui ont quitté un poste salarié confortable pour créer leur activité qui les passionne et qui se rendent compte qu’il ne suffit pas d’être passionnée pour réussir. »

Xavier Eloy coach

Comme coach, je rêve que tous les êtres humains soient autonomes et puissants.

Nous voulons tous l’inverse de ce que nous avons vécu enfant.
Nous voulons un monde meilleur, et ce monde est celui où les choses se passent comme nous l’aurions voulu enfant !

C’est pourquoi ma mission consiste à rendre les entrepreneuses autonomes et puissantes.

 

Comment gagner en Autonomie et déployer sa Puissance ?

   Ce que j’ai trouvé au fil de mes années de carrière en tant que chef d’entreprises, et de mes nombreuses lectures :

  • En vivant de sa passion.
  • En faisant ce pourquoi nous sommes naturellement excellents.

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Souvenez-vous de ce qui vous a touché dans votre enfance.

Un souvenir me revient de l’enfance, où je vois une femme en difficulté dans un supermarché tentant de prendre un article tout en haut du rayon, et de voir des personnes passer à côté et l’observer sans l’aider. Étant-donné qu’à l’époque je mesurais à peine un mètre, je me suis senti totalement impuissant pour l’aider, et pourtant j’aurais tant voulu l’aider. Cette situation m’a amené à vivre un sentiment d’injustice et d’impuissance, et donc un sentiment profond de mal être dans le ventre que je peux encore ressentir aujourd’hui ; avec le cœur qui s’emballe et des tensions dans mes muscles… et je me suis dit « PLUS JAMAIS ÇA » !
C’est probablement pour cette raison que je ne supporte pas de voir des personnes, et plus particulièrement des femmes, en situation de faiblesse.
Alors maintenant je les accompagne pour leur permettre d’accéder à leur juste Puissance.

Quel était le contexte familial ?

J’ai vécu en présence de deux modèles très différents. Ma mère était couturière indépendante à la maison, où la cuisine était tantôt son atelier de couture, tantôt la cuisine où mijotaient de grands plats pour les 8 personnes que constituaient la famille. Quant à mon père, il était fonctionnaire agent des Postes, avec un bureau qui faisait partie de la maison. Donc avec un temps de parcours pour se rendre à son travail qui ne dépassait pas une minute à pieds ! Il s’en ira de ce monde trop jeune, quand j’ai l’âge de 20 ans. Je commence mes études supérieures.

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Il y a des moments marquants dans notre vie, intenses et poignants. Le soir du décès de mon père, je prends conscience que la vie ne sera plus jamais pareille. C’est à partir de là que je prends une décision dans ma tête : « je deviens l’homme de la maison ». Et je me vois prendre un rôle qui ne m’appartient pas. Je me surinvestis dans cette responsabilité qui ne m’incombe pas, qui plus est ne m’est pas demandée. C’est une décision qui va ensuite orienter mes choix futurs. C’est une décision qui va restreindre ma vision de la vie, et la manière dont j’envisage la mienne. Chaque fois que je vais avoir une opportunité de vivre quelque chose qui me sort de ce rôle d’homme gardien du lieu, je vais le faire avec un sentiment de culpabilité d’abandonner ma mère, et je ne vivrai pas mes choix avec joie et simplicité.

Dès la fin de mes études, je me mets au travail. Il sera interrompu par un service militaire encore obligatoire à l’époque. Ensuite je me retrouve dans un bureau d’études d’une coopérative de communes où j’y suis statutaire. Mon enthousiasme débordant des trois premières années s’épuisera, et je vais me mettre à initier des activités parallèles passionnantes où je vais m’épanouir et trouver de la reconnaissance que je n’avais pas en suffisance, dans mon poste.

Comment naissent la résignation et les croyances ?

Ma situation financière est précaire. J’ai alors un enfant à charge, je suis marié avec une artiste.  Je pense n’avoir d’autre choix que de m’accrocher à ce petit salaire qui ne pourra jamais évoluer, comme le prévoit mon contrat de travail. J’ai même signé ce contrat, je me dis alors que je ne peux rien y changer. Je ne peux donc me plaindre, et je vis avec la croyance qu’il n’en peut être autrement. Je me résigne.

La résignation peut se vivre différemment selon les personnes, chez moi, elle se nourrissait par des espoirs furtifs. J’espérais une meilleure situation, et à chaque fois que je me surprenais à rêver, la petite voix me disait « trop tard » tu as signé ton contrat de travail, c’est pour la vie. Et puis l’idée de rester à la même place toute ma vie me créait des angoisses. Je me sentais en prison, avec des murs autour de moi trop difficiles à faire tomber. Et tous les jours j’avais mon lot d’espoirs qui arrivaient à me procurer un peu de plaisir les quelques secondes d’évasion mentale.

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Vivre le Burn-out, un mal qui touche plus d’un tiers des salariés.

Alors que je commence à ressentir quelques symptômes d’ennuis, que l »ambiance à la maison devient maussade, mon estime de moi descend au plus bas !  Je laisse pourrir la situation, et un beau matin, impossible de me lever.  Je regarde autour de moi, le monde n’a pas changé, tout est pareil, mais en moi, à l’intérieur, il y a quelque chose d’irrémédiablement abîmé, je peux dire cassé. Ma motivation a complètement disparu. Je n’ai plus d’envies du tout. C’est comme une panne sèche où je ne sais même plus quel carburant je dois utiliser ! Le docteur parle d’un épuisement, le terme technique utilisé aujourd’hui est « burn-out ».

La médecine du travail me fera reprendre mes fonctions tout de suite estimant que c’est anodin.

À partir de cet instant, je me retrouve devant un choix : ou je craque, j’abandonne, je continue à me résigner et je vis une vie qui ne me convient pas ; ou je me prends en main, je change quelque chose et je vis une vie épanouissante et passionnante.

J’ai choisi la deuxième option.

Vivre correctement sa transition professionnelle.

C’est le début de ma première transition professionnelle. Je me félicite encore aujourd’hui d’avoir pu m’extraire d’une situation inconfortable et bien verrouillée que je croyais subir, c’était une vie de routine, ennuyeuse et douloureuse.

J’ai créé une entreprise prospère où je me suis épanoui, où j’ai pu me développer avec mes valeurs, créer de la richesse pour moi et les salariés, tout en faisant une différence agréable à la société et la planète.

Je vous invite à lire l’article que j’ai écrit à ce sujet.

Comment créer sa propre entreprise ?

J’ai créé ma propre entreprise. Si l’aspect administratif de la création d’entreprise fut un parcours plutôt facile, ce qui le fut moins était de trouver la voie, le domaine, l’objet, la raison… J’ai trente ans à l’époque, et déjà beaucoup de passions et de certitudes, mais peu d’expérience professionnelle et de vision du monde de l’entreprise.

Je me souviens encore des nombreuses heures de réflexion, de lectures, pour arriver à trouver ma voie. Disons franchement, ce qui a été marquant, c’est ma détermination à trouver, et ma persévérance à poser les actes qui suivent les pensées.

Il y a un moment, lorsque vous persévérez sur une idée qui vous semble juste, vous arrivez à une espèce de magie où les planètes s’alignent pour vous et vous obtenez ce que vous cherchez.

J’achète alors un livre qui va me donner un mode d’emploi de la méditation. Et je me mets à faire les exercices proposés. Il me permet de trouver des réponses en moi, des intuitions, des convictions… Je finis par rencontrer une dame, libraire dans le vieux quartier de la ville. La conversation avec elle va ouvrir ma conscience pour le reste de ma vie. Elle me donne rendez-vous le lendemain pour continuer notre conversation, et à partir de là ma nouvelle activité professionnelle est née. Je me mets à vendre des matériaux écologiques.

Aujourd’hui l’entreprise existe encore, et lorsque je l’ai remise, elle générait près de 2 millions d’euros de chiffre d’affaires, alors que j’ai démarré de zéro. La suite fut loin d’être un long fleuve tranquille.

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Gestion de la croissance, et de la décroissance : facile ou difficile ?

J’aurai à gérer une croissance forte et sans aucune aide. Ma situation financière et bancaire ne me permettait pas de garantir un financement. Alors je vais devoir me débrouiller seul, avec des fournisseurs très sensibles et un marché en plein essor. Je travaille sans show-room, sans camion… et je parviens tout de même à vendre et grandir. Je gagne de plus en plus la confiance des fournisseurs et de nouveaux clients. Je développe le business avec les moyens que j’arrive à faire évoluer petit à petit.

Le marché grandit, la crise de 2008 arrive au moment où la concurrence s’est développée, et de nouvelles compétences me sont demandées : gérer la décroissance. C’est une autre paire de manches, mais cela ne me semble pas impossible, de ce fait j’y parviens.

La success-story continue, avec la création d’entreprises connexes pour toujours mieux rendre service aux clients. Je m’associe avec une jeune personne aux compétences complémentaires.

Plus forts, nous rachetons une entreprise française de distribution de produits allemands. Je deviens alors co-gérant de 4 entreprises sur les territoires belge et français. Nous devenons un acteur incontournable du marché sur lequel nous sommes.

Que faire d’un contexte de crise ?

Durant près de vingt ans, j’ai développé 4 entreprises de front, dans des contextes toujours difficiles, voire hostiles, où il y a toujours des circonstances gênantes, des vents hostiles, des périodes de crise… mais qui n’auront jamais raison de moi.

C’est le mind-set qui est déterminant, car des circonstances difficiles, il y en a toujours. Plus je travaille ma tournure d’esprit, ma souplesse de réflexion et d’agir, et plus le contexte qui semble difficile m’amène à être créatif et d’être acteur.

Comment remettre du sens à sa vie ?

C’est en 2016 que je me remets en question sur le sens de ma vie, et surtout dans quel sens que je souhaite orienter ma vie.

Je choisis de devenir coach professionnel. Mon appétence pour l’aide, le développement de la personne, le bien-être… m’amène à ce métier.  Aujourd’hui encore, la concurrence est forte. Le métier est à la mode, l’accès au métier est facile et ne requiert pas de conditions permettant à quiconque de s’appeler coach et d’exercer.

Je me forme dans une des meilleures écoles parisiennes, l’Académie du Coaching, et deux ans plus tard, diplômé, je prends conscience que je ne suis pas coach avec mon diplôme, mais que je deviens coach en pratiquant et en continuant à me former.

Âgé maintenant de 54 ans, je vous raconte tout ceci pour que vous ressentiez le parcours que j’ai réalisé.

Beaucoup de personnes veulent créer leur entreprise pour être plus libre ! J’ai pu quitter une administration en forte croissance de personnel et de missions. Ce qui engendrait une plus forte réglementation, une fermeture. Je vivais cette situation comme un étau qui se resserrait où l’aisance et la liberté d’agir devenait nulle. Cela ne me convenait pas, avec ma personnalité et ma volonté d’entreprendre, d’être acteur d’un monde meilleur. Ce n’était tout simplement plus compatible avec mes aspirations et mes valeurs.

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Qu’est-ce que le coaching ?

Le mot coach est mis à toutes les sauces de nos jours, il faut dire qu’initialement il était utilisé dans le monde du sport et qu’il a été réutilisé dans le monde du développement personnel. Ce mot est souvent accompagné d’un autre mot pour arriver à faire comprendre ce que nous sommes.

C’est pourquoi j’utilise l’expression « passion – business – coach » car j’ai à cœur de créer de la cohérence entre la ou les passions de la personne que j’accompagne, son business, son activité et qui elle est.

Je suis convaincu que travailler à partir d’un domaine qui nous passionne est beaucoup plus simple et plus agréable. C’est pourquoi j’accompagne les femmes entrepreneuses qui ont quitté leur poste de salariée il y a quelques temps et qui aujourd’hui ont tendance à s’épuiser à se rendre visibles sur leur marché. 

Le coaching c’est l’art de créer un contexte qui permet à la personne accompagnée de trouver par elle-même les solutions pour atteindre ses objectifs ou la satisfaction de son désir.

J’appelle cela rendre les personnes autonomes et puissantes.

À qui je m’adresse en tant que coach ?

Je m’adresse aux personnes désireuses de gagner en qualité de vie grâce à leur travail passionnant.

J’aide les personnes qui veulent élargir les horizons dont elles rêvent et qui veulent dessiner le chemin sur lequel elles marchent. C’est en prenant cette responsabilité que j’imagine un monde meilleur. Un monde où les individus parce qu’ils sont épanouis, heureux et satisfaits deviennent une source d’inspiration pour les autres et pour eux-mêmes.

Ma vision

« Rendre aux femmes leur Puissance et leur Autonomie pour qu’elles soient épanouies et libres de choisir leur vie. »

Pourquoi j’accompagne davantage les femmes ?

Il m’importe de préciser d’emblée que j’accompagne également des hommes. Disons qu’il serait plus juste de dire que j’accompagne le féminin, qu’il soit chez la femme ou chez l’homme. Ce qui me motive fortement, ce sont les valeurs qui sont véhiculées par les énergies féminines, des valeurs de partage, de solidarité, d’entraide, d’écologie, de respect… avec toute la sensibilité qui les caractérise.

C’est aussi parce que cela me correspond. Mon hypersensibilité et mon analyse fine et subtile sont reconnues et appréciées par le « féminin ».

J’accompagne les femmes parce que ce sont elles qui font les hommes de demain, et que le monde a besoin d’hommes respectueux, engagés, épanouis.

Ce sont les femmes qui donnent chair à la Vie.

« Je suis impressionnée par la finesse de tes observations, ton attention aux autres et ta sensibilité. »     Carole, coach.

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Pourquoi les femmes devraient choisir un homme pour être accompagnée ?

Ce sont elles qui le disent…  Je leur ai demandé pourquoi il est préférable d’être accompagnée par un homme ?  Leurs réponses m’ont fortement interpellées.

Les voici :

  • Pas d’esprit de « jalousie/compétition féminine » même si être accompagnée par une femme peut avoir un aspect aussi « solidarité féminine »
  • Accepter de pouvoir atteindre la même ambition que les hommes
  • Les hommes sont moins bavards et plus directs sur ce qu’il faut faire
  • Ils ont un degré d’écoute et de ciblage intéressant
  • Les coachs hommes ont moins de contraintes personnelles (enfants…) et sont plus impliqués dans leur business et donc l’accompagnement
  • Un homme apporte moins de jugement, plus de tolérance
  • Plus en confiance sur la confidentialité
  • Je pense que les hommes savent mieux maîtriser leurs émotions dans le business
  • Les hommes sont depuis des décennies des chefs d’entreprise
  • Les femmes font des effets miroirs aux femmes

« C’est génial qu’un homme ayant entrepris accompagne des femmes, qui ne l’auraient jamais fait seules, à entreprendre ! »  

Patricia, entrepreneuse

« Ta posture très rassurante, sans jugement, a permis de déloger une croyance enfouie dans des mécanismes très ancrés de l’Inconscient Collectif féminin.

« Tu n’es pas n’importe quel homme ». Tu n’es pas juste un homme qui accompagne une femme, c’est Xavier qui vient avec sa manière d’être homme qui « répare » la femme. »  Marie, coach.

 

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